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Emportez vos chroniques dans votre cœur, et laissez la vie vous concéder un horizon différent. » Sur la vie du port, les navigateurs déchargeaient leurs lacs, et les premiers utilisateurs flânaient marqué par le soleil moderne. Phil entra dans un petit café où il aimait s’installer. Il commanda un expresso serré et sortit son carnet de notes pour y écrire, de appel, tous les éléments relatifs au chant de la veille. Hubert avait promis d'obtenir d’autres témoignages, Nadège de s'acharner ses entretiens. Quant à Phil, il comptait sur ses contacts grâce à la voyance par sms pour révéler des récits de matelots ou de riverains doté d' entendu des phénomènes similaires. En ouvrant son carnet, il repensa à bien sa propre consultation au téléphone. 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La passion pourrait inspirer des avenues. » Après ce bref brocantage, Phil envoya un texto communautaire à bien certaines personnes marins qu’il connaissait, expliquant qu’il cherchait des info sur des chants entendus la nuit, potentiellement mitoyen de la chapelle ou au grand. Ses amis canotiers, correctement qu’étonnés par sa série d'interrogations, promirent d’en assembler autour d’eux. Aux environs de midi, dans ce cas qu’il dégustait un sandwich au poisson, il reçut une prière inattendu de Julien, un capitaine qualifié. « Écoute, Phil, j’ai de périodes à autre sûr des sons surprenants en mer, comme par exemple des gémissements ou des chœurs lointains. Mais c’était notamment par saisons de brume, tard l'obscurité. Certains touchent de rochers fendus où le vent s’engouffre, d’autres d’esprits. Qui sait… » Le cœur de Phil s’emballa. Chaque indice, de plus anodin soit-il, semblait converger technique poétique la même devinette. 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